Pourquoi on doit faire des éconnomies de petrol
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10032006
Pourquoi on doit faire des éconnomies de petrol
Des raisons supplémentaires pour changer de comportement et dire
non au TOUTAUTO.
L’épuisement des réserves d’énergie (1) :
Le pétrole : 40 ans
Le pétrole représente aujourd’hui plus du tiers de l’énergie primaire consommée.
En prolongeant les tendances actuelles, la consommation mondiale de pétrole augmenterait de 60% entre 2000 et 2030 !!!
Les deux tiers de cette augmentation de pétrole seraient absorbés par le transport.
Aujourd’hui le pétrole fournit 40% de l’énergie du globe, mais environ 70% de celle nécessaire aux transports pour lequel il reste pratiquement irremplaçable.
Rappelons que l’on consomme plus de pétrole qu’on en découvre.
Le gaz naturel : 60 ans
La moitié des ressources est concentrée en Russie et en Iran. Les ressources prouvées sont de 60 ans au rythme actuel de production. L’Europe importerait 70% de son gaz en 2030 contre 36% en 2000. Les cours du gaz devraient suivre ceux du pétrole dans les décennies à venir.
Le charbon : 200 ans
Alimentant essentiellement les centrales thermiques il a 200 ans de réserves avérées. En 2000 il représente 26% de la consommation mondiale et devrait voir sa consommation doubler d’ici 2030. Tout comme le pétrole, l’augmentation de la consommation de charbon se fait au détriment de l’équilibre climatique.
L’uranium : 40 ans
L’AIE prévoit un déclin relatif de la part du nucléaire de 17% en 2000 à 7% en 2030. La raison de cette stagnation serait la fermeture définitive des centrales dans une dizaine d’années dans les économies de transition (pays de l’ex URSS) faute de finances pour renouveler le parc nucléaire. Selon le commissariat à l’énergie atomique, les réserves mondiales d’uranium sont de 40 ans à un prix d’exploitation économiquement réaliste.
(1) : source Agence Internationale de l’Energie.
Réduire notre consommation :
Le plus important à noter est l’épuisement très prochain des réserves en pétrole en gaz et même en uranium. Et pour toutes les énergies non renouvelables charbon compris, le marché mondial de l’énergie sera tributaire dans les trente années à venir de l’augmentation de leurs coûts d’extraction et d’acheminement. Il s’agit d’un marché gigantesque, estimé par l’AIE à 4.2 trillions de dollars…mais dont la réalisation compromettrait la vie de l’humanité et serait contraire aux engagements du traité de Kyoto visant à ramener les émissions de gaz à effet de serre en 2012 au niveau de celui de 1990.
Dans ce contexte quelle est l’avenir des projets autoroutiers dans la Vallée du Rhône et arc languedocien qui ne prennent pas en compte l’impact du problème pétrolier en terme de coût et disponibilité à court terme.
non au TOUTAUTO.
L’épuisement des réserves d’énergie (1) :
Le pétrole : 40 ans
Le pétrole représente aujourd’hui plus du tiers de l’énergie primaire consommée.
En prolongeant les tendances actuelles, la consommation mondiale de pétrole augmenterait de 60% entre 2000 et 2030 !!!
Les deux tiers de cette augmentation de pétrole seraient absorbés par le transport.
Aujourd’hui le pétrole fournit 40% de l’énergie du globe, mais environ 70% de celle nécessaire aux transports pour lequel il reste pratiquement irremplaçable.
Rappelons que l’on consomme plus de pétrole qu’on en découvre.
Le gaz naturel : 60 ans
La moitié des ressources est concentrée en Russie et en Iran. Les ressources prouvées sont de 60 ans au rythme actuel de production. L’Europe importerait 70% de son gaz en 2030 contre 36% en 2000. Les cours du gaz devraient suivre ceux du pétrole dans les décennies à venir.
Le charbon : 200 ans
Alimentant essentiellement les centrales thermiques il a 200 ans de réserves avérées. En 2000 il représente 26% de la consommation mondiale et devrait voir sa consommation doubler d’ici 2030. Tout comme le pétrole, l’augmentation de la consommation de charbon se fait au détriment de l’équilibre climatique.
L’uranium : 40 ans
L’AIE prévoit un déclin relatif de la part du nucléaire de 17% en 2000 à 7% en 2030. La raison de cette stagnation serait la fermeture définitive des centrales dans une dizaine d’années dans les économies de transition (pays de l’ex URSS) faute de finances pour renouveler le parc nucléaire. Selon le commissariat à l’énergie atomique, les réserves mondiales d’uranium sont de 40 ans à un prix d’exploitation économiquement réaliste.
(1) : source Agence Internationale de l’Energie.
Réduire notre consommation :
Le plus important à noter est l’épuisement très prochain des réserves en pétrole en gaz et même en uranium. Et pour toutes les énergies non renouvelables charbon compris, le marché mondial de l’énergie sera tributaire dans les trente années à venir de l’augmentation de leurs coûts d’extraction et d’acheminement. Il s’agit d’un marché gigantesque, estimé par l’AIE à 4.2 trillions de dollars…mais dont la réalisation compromettrait la vie de l’humanité et serait contraire aux engagements du traité de Kyoto visant à ramener les émissions de gaz à effet de serre en 2012 au niveau de celui de 1990.
Dans ce contexte quelle est l’avenir des projets autoroutiers dans la Vallée du Rhône et arc languedocien qui ne prennent pas en compte l’impact du problème pétrolier en terme de coût et disponibilité à court terme.
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