Et oui!! c'est avec une grande tristesse que j'ai aussi appris la disparition de Raymond Devos!
Cet humoriste hors pair et inégalé jusqu'à lors (mais souvent imité) nous manquera par ses textes qui venaient d'un autre monde!


Pour sa mémoire, voici quelques bons mots qui ne manqueront pas de vous faire réfléchir!!!!:



« Qui prête à rire n'est jamais sûr d'être remboursé. »


> Parce qu'il y a des magiciens qui vous promettent la lune... Moi, je vous promets le soleil !


Lorsqu'on a la prétention, comme moi, d'entraîner les gens dans l'imaginaire, il faut pouvoir les ramener dans le réel, ensuite... et sans dommage !


La raison du plus fou est toujours la meilleure.


Ne rien faire, ça peut se dire. Ca ne peut pas se faire


Je crois à l'immortalité et pourtant je crains bien de mourir avant de la connaître.

R. Devos

et oui, raymond nous quitte!!! une grande pensée pour un géant de l'humour, pour un marionettiste de la langue francaise, en bref le meilleur!!!
on a tiré notre révérence aux meilleurs : coluche, desproges et maintenant au tour de devos!
allez raymond, tu reste le meilleur dans nos coeurs d'auditeurs!!!
salut l'artiste!
une petite pensée de l'ami raymond recueillie lors d'une interview pour ses 80 ans, je la trouve tres touchante!!!!

"Premier chagrin. Un chagrin de métier, les autres, je les garde pour moi. J'étais au Canada avec un chanteur français que j'admirais (Devos préfère taire son nom), il faisait la première partie, moi, la seconde. Il passe et casse la baraque. J'étais dans la loge, j'entendais, cette densité-là, je savais que je l'aurais pas, il était en train de tout prendre. J'étais là, tout seul. L'entracte arrive, dans sa loge, toute la presse, les fleurs. J'entends tout ça. On rappelle les gens dans la salle. Ça va être à moi. La porte s'ouvre et le chanteur me lance : « Essaie de faire mieux ! Un coup de poignard. Je prépare ma guitare. La porte s'ouvre encore, une chanteuse canadienne, Pauline Julien, elle m'embrasse. Et une voix : « Devos, ça va être à vous ! » C'est terrible. Il faut que tu rayonnes. J'entre, une ovation. Les gens avaient dû comprendre. Tu entres en scène anéanti, et d'un seul coup, par l'accueil, tu décolles. Une joie intense, irréelle presque. C'est tout le métier et c'est ça qui fait que je suis devant toi aujourd'hui, avec des cicatrices, des lumières qui s'allument. C'est ça, mes 80 ans!"

RIP

On ne devient une légende que lorsqu'on disparaît...
Raymond en est devenue une hier. Tchao l'artiste, et tâche de les dérider un peu là-haut...